L’équipe

A la base ce sont deux amis (Olivier et Mehdi) qui en période estivale se sont dit : « Et si on essayait de lancer une alternative au traitement du jeu vidéo comme on peut le voir, l’entendre ou le lire sur les sites, podcasts et autres formats papiers ? » Il n’en a pas fallu plus que cette folle proposition pour constituer une équipe pour ce projet. Chacun participant à des degrés variés à l’émission. Certains dont vous entendrez la douce voix durant le podcast, d’autres plus discrets mais indispensable pour réfléchir chaque émission et apporter d’autres pierres à l’édifice JGMNP !


Mehdi

@D_Mehdi

Background vidéoludique

Biberonné au jeu vidéo dès l’âge canonique de 5 ans j’ai fait mes premières armes avec un plombier moustachu italien et un chien ramasseur de canards et moqueur à ses heures perdues. Toutes ces expériences sur une console grise que je n’imaginais pas à l’époque blanche à près de 20.000 kms de là au Japon. Sans plus de cérémonie se sont suivies nombre de consoles, de pièces épuisées (tout comme mes parents qui me suivaient !) dans les salles d’arcade et de découvertes vidéoludiques en tout genre.Pour rentrer dans le vif du sujet des expériences de jeu… Sans toutes les citer, un souvenir toujours ému et renouvelé à chaque partie pour les jeux musicaux et les jeux de baston (King of Fighters pour la vie). Néanmoins ces derniers trop chronophages (et moi trop perfectionniste c’est incompatible) m’accompagnent moins souvent que je ne le souhaiterai.

2 jeux m’ont aussi marqué au plus haut point, et les entendre lors de nos émissions est devenu une quasi tradition. Il s’agit de la série des Suikoden de Konami et du jeu Nier de Square Enix.

A tout cela s’ajoute une extase devant chaque perle déjantée (bien souvent nipponne). Ces jeux « à part » (Pepsi Man, Coco Curry no Ichiban-ya, Aerodive…). J’aurai bien assez l’occasion de parler du reste durant l’aventure, je l’espère longue, de Je Game Moi Non Plus.

Expérience pro

Houla que dire… J’ai eu l’occasion d’arpenter le net en tant qu’utilisateur (logique) et surtout souvent en tant que rédacteur, avant de devenir chroniqueur. J’ai créé avec un ami (Maxime pour le citer) il y a quelques années de cela un site Suiko-den dédié à la série RPG de Konami du même nom mais sans le tiret (regardez un tout petit plus haut :p).J’ai écrit et continue de (trop?) écrire sur les jeux vidéo. Chroniqueur deux ans sur le site www.digitalgames.fr également avec news, événements et cie. J’ai actuellement quelques projets d’écriture dont notamment une biographie de Suda51 à paraitre aux éditions Pixnlove en 2016. Co-écrit avec Florent Gorges il traite du game designer et PDG de la société Grasshopper.Et au-delà de ça toujours sur des projets dans les tiroirs avec des histoires de pixels et de gens y dédiant leur temps.

J’ai également travaillé sur la question du jeu vidéo pendant mes douces années universitaires dans pas mal de domaines. En sciences humaines essentiellement (philo,socio,psycho…) mais aussi en études culturelles (cinéma,lettres,arts).

Podcast

Hum à défaut de faire court lors des émissions je ferai simple ici. J’essaye de faire en sorte que toute la charmante équipe de Je Game Moi Non Plus puisse s’exprimer au mieux en distribuant la parole de manière optimale. Je sais aussi passer en mode « hâbleur » lorsque je le pense profitable à l’émission ou que mes camarades font les timides. A l’inverse les autres feront au mieux -j’espère!- pour refréner mes ardeurs verbales.


Olivier

Background vidéoludique

J’ai commencé le jeu vidéo sur Amstrad CPC quand j’étais tout piti. Je jouais beaucoup à Sorcery+ mais je ne me souviens plus trop de ce que c’était en fait. Un espèce de jeu de plateforme bizarre sans doute mais il ne m’en fallait pas plus à l’époque. Ensuite je suis passé au PC et mes 2 jeux principaux étaient Ultima VII et surtout Might and Magic IV et V.

J’étais aussi très à fond sur Civilization I et II et puis je suis passé à la console en me goinfrant de RPG sur PlayStation surtout (l’époque bénie Squaresoft). J’ai survolé un peu l’époque PS2 et je suis passé à la « next-gen » via la XBOX360. Je joue surtout là-dessus désormais à des jeux comme Assassin’s Creed, Red Dead Redemption, Portal, Mass Effect et plein d’autre tueries du genre! Si je devais citer un jeu et un seul qui est culte pour moi: Final Fantasy Tactics.

Expérience pro

Au niveau pro j’ai commencé comme stagiaire chez jeuxvideo.com, ensuite je suis passé au marketing chez un éditeur Lyonnais nommé Nobilis où j’ai eu la chance de m’occuper de la campagne du jeu Trine pour PC et PS3. Dernièrement j’étais responsable marketing et relations presse chez un petit éditeur nommé Zallag. Je m’occupais des jeux (SHIFT extended et Gods vs Humans entre autre) et des BD sur WiiWare et PC.

J’ai depuis changé de métier et de milieu et ai pu retrouver mon œil amateur de joueur !

Podcast

Dans Je Game Moi Non Plus j’espère pouvoir apporter un regard un peu différent sur certains débats en amenant notamment les points de vue éditeurs qui peuvent être en conflit avec les points de vue développeurs et même avec ceux des joueurs parfois !
Je tente aussi d’amener un peu de légèreté (au milieu des explications ultra-référencées de mes collègues) à travers des blagues plus ou moins réussies.


Gaëtan

JGMNP Logo

@jgmnp

Background vidéoludique

Tout petit, j’étais un gros frustré du jeu vidéo. Quand mes copains avaient une NES avec super mario, je jouais sur le pc DOS d’un magasin à un jeu imbittable à base de caractères ASCII. Enfant, j’étais un gros frustré du jeu vidéo. Quand mes copains jouaient au Roi Lion sur leur Super Nes ou à Soul Edge sur PSX, je déplaçais des gros carrés de pixel sur une Atari 7200 avant – miracle – de découvrir les joies de la NES ou de la Master system (la 1, la moche). Adolescent, j’étais un gros frustré du jeu vidéo. Quand mes copains parcouraient les plaines d’Hyrule en 3D sur le dos d’Epona, je lançais mon émulateur SNES (sans le son sinon ça ramait trop) pour jouer à des traductions japono-anglaises des rpgs de Super NES. Ca doit être à ce moment que j’en ai eu marre, et que je me suis dit que créer, c’était mieux que jouer.

Expérience pro

Je suis arrivé au jeu vidéo assez tard, après avoir essayé diverses choses : écriture d’histoires ou d’articles, musique, film amateur, création de jeux classiques ou de jeux de rôles, programmation, sites web, dessin. Le jeu vidéo est un domaine où on peut utiliser tout ça, ce qui est chouette. Expérience professionnelle courte : j’ai bossé en tant qu’associate-producer chez Nobilis, sur des petits jeux qui ne valent pas forcément la peine d’être mentionnés. Depuis, je mène une double vie : le jour je suis un jeune ingénieur bon teint pas du tout vidéoludique, et la nuit je travaille avec une petite équipe sur un rpg 2D indé, et avec une autre sur un framework de dev de jeu.

Podcast

Je viens faire la caution ‘dev’ de Je Game, Moi Non Plus, appeler à un peu plus d’amour et de compassion pour tous ces développeurs qui font ce qu’ils peuvent. Il paraît aussi qu’on va traiter de sujets de fond.


Fred

JGMNP Logo

@jgmnp

Né en 1987, Fred a suivi des études de graphisme puis d’Histoire de l’art. L’analyse culturelle est pour lui une passion et il s’y adonne depuis de nombreuses années, parallèlement à son activité de graphiste et d’illustrateur – on peut trouver ses papiers dans BoDoï*, Chronic’art ou Manga 10.000 Images.

S’il écrit avant tout sur la BD et la musique, Fred n’en est pas moins ivre de jeu vidéo, tombé amoureux des jolies consoles japonaises de sa prime enfance. Depuis 2012, il participe au podcast Je Game Moi Non Plus avec l’intention première de parler de Dark Sou… pardon, de dresser des parallèles entre le jeu vidéo et les autres formes culturelles. Et ce, de manière aussi réfléchie et (surtout !) accessible que possible. Ou pour taper la discute entre amis, allez savoir.

* Ce magazine a eu comme actionnaire majoritaire un certain Bruno Bonnell, alors PDG de feu Infogrames. Les coïncidences n’existent pas.


Julien

JGMNP Logo

Julien est né en 1984 et a étudié la langue et la civilisation japonaises ainsi que les lettres modernes.

A partir de 2002, il a co-créé et animé pendant 2 ans « Oretachi no Tôkyô », une émission consacrée à la culture japonaise, où il disséquait le meilleur de la production culturelle nippone. De cette époque, il a gardé son goût pour la critique, l’analyse cultuelle et le média radiophonique.

Après un détour par le web en tant que pigiste pour Fantasy.fr et de nombreux projets autour du jeu vidéo, il revient aux micros en 2013 en collaborant parfois à « No pain, no game » sur Radio Campus Orléans, mais surtout en rejoignant la fine équipe de Je Game Moi Non Plus.

Un juste retour des choses, car pour la petite histoire, c’est lui qui a soufflé ce nom, emprunté à un recueil de Yû Nagashima, à Mehdi !

Antoine

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@antoineherren

Background vidéoludique

Pendant de nombreuses années, je fus un consoleux invétéré. Découvrant le médium avec la Nes, son Mario, ses Tortues Ninja, prolongeant l’expérience avec la PSone, la Megadrive, la Dreamcast et la PS2, j’ai sillonné tous les genres, plateforme, JRPG, sport, jeu de course… Me spécialisant petit à petit dans le JRPG, je m’appliquais à écumer les fonds Squaresoft, découvrant au passage Earthbound et la série des Shin Megami Tensei.

Tombant dans le désespoir en 2010 face à la bassesse des jeux AAA, je repris bien vite espoir avec la vague furieuse des jeux alternatifs peuplant l’espace de thèmes riches et de mécaniques passionnantes.

A mes heures perdues, je parcours d’antiques RPG PC et parfais mes aerials sur Rocket League.

Je m’intéresse actuellement aux jeux à contrôleurs alternatifs, réactualisation punk ou/et arty de nos bonnes vieilles bornes d’arcade.

Expérience pro

J’ai commencé par gribouiller à droite, à gauche, pour les sites Gonzai, Indie-game.fr et Ludologiques.com. J’ai ensuite rejoint l’association le Gamelier, plus seulement pour écrire mais aussi pour aider à l’organisation de tables rondes et de talks.

Depuis un an, encouragé par le dynamisme des festivals alternatifs européens (A MAZE, Stunfest, Screenshake…) je mets moi même la main à la pâte en organisant des évènements sous le nom de Random Bazar où nous nous efforçons de promouvoir la culture expérimentale, ludique et musicale (#autopromo).

J’écris depuis peu pour Game Side Story, site porté sur les jeux vidéo indépendants.

Podcast

Caution hipster du podcast, vous pouvez comptez sur moi pour débattre pendant des heures et citer toute sorte de jeux obscurs.


Anciens chroniqueurs

Benjamin

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Background vidéoludique

J’ai commencé les jeux aux alentours de 7 ans avec la NES et la cartouche de Super Mario Bros/Duck Hunt, qui a bercé mon enfance. Je suis ensuite passé sur Super Nintendo, tandis que mon grand-père m’offrait la première Game Boy, qu’il avait trouvé par terre (avec le recul des âges, je doute de la véracité de cette version, et du coup de la légalité avec laquelle la console a été obtenue) avant d’avoir la Game Gear. Déjà sur ces consoles ce qui m’attirait le plus étaient les adaptations (de BD, de Disney, de films…) et j’y ai beaucoup joué. Ensuite vint l’été 97 où, pour mon douzième anniversaire me fut offerte une Playstation première du nom, avec Fade to Black et WipeOut. À moi la 3D !

Ensuite le foyer acquiert son premier PC et là je découvre un genre avec lequel je tombe amoureux : le point’n’click. Les Chevaliers de Baphomet, Discworld (l’épisode Noir surtout), les Syberia, Runaway… Bref, gros coup de coeur. Puis la PS2, et enfin la PS3, jusqu’à ce qu’avec ma première paie, je m’offre la 360, puis la PS3, puis la Wii, et maintenant j’arpente les brocantes le week-end à la recherche des consoles de mon enfance et je commence à avoir une belle collection.

Expérience professionnelle

L’arrivée du net m’a très vite fait connaître jeuxvideo.com, ou je me créée un compte en 1998. Fidèle lecteur de ce site depuis (les news hein, pas les immondes forums peuplés de trolls, de kikoolol et de pyjamas), j’ai eu le plaisir d’y décrocher un stage en 2008, de 6 mois, suivi d’un CDD de deux mois. Après j’ai été rédacteur bénévole pour un autre site d’actu 360 indépendant, avant de le quitter, faute de temps.

Podcast

Ma présence sur le podcast sera épisodique, en raison d’un emploi du temps un peu charrette, et aussi de ma propre volonté de me réserver du temps de jeu. J’assume plus le côté détente, relax, avec un regard moins acerbe que mes camarades, mais toujours pertinent. Et je vais dire des trucs biens. Des fois.

 

5 réflexions au sujet de « L’équipe »

  1. Bonjour,

    Je suis Fabrice de l’agence Minuit Douze.
    Afin de vous faire part des actualités, propositions de test et invitations de nos clients dans le domaine du jeu vidéo, n’hésitez pas à me communiquer vos coordonnées.

    Je reste à votre disposition pour tout complément d’information.

    Bien à vous,

    Fabrice

  2. Bonjour, je suis désireux de prendre contact avec le réalisateur de JGMNP et toute la team ! L’équipe du Secteur 51 ayant concocté un petit mail à son intention (je rassure l’assistance, il s’agit d’une invitation ne nécessitant aucun jet de sauvegarde, aucun pixel n’ayant été maltraité dans nos lignes – quoique…) A quelle adresse mail pouvons-nous l’expédier ?

    Radiophoniquement vôtre,
    Gaël aka Mister G., cap’tain du S51

  3. Allo allo ? Pour mémoire nous sommes toujours dans l’attente d’une adresse mail où déposer notre humble missive ! 🙂 (voir ci-dessus)

    De belles ondes à toute l’équipe !
    Gaël aka Mister G., cap’tain du S51

  4. Bonjour,
    Je suis enseignant au lycée français de Bruxelles. Je souhaiterai faire venir l’équipe de JGMNP au lycée dans le cadre de la semaine de la pop philo afin soit d’enregistrer un podcast soit de faire une conférence. Seriez-vous intéressé ?
    Cordialement,

    Emmanuel Guillemant
    PS : Medhi, je suis gros fan de kof et de street, un défi s’impose 😉

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