Je Game Mais Pas Que #7 – L’Introspection

L’introspection. Le fait de regarder à l’intérieur de soi. Par le biais de procédés divers, toutes les formes narratives ont tenté de nous faire ressentir la plongée dans l’esprit d’un personnage – ou parfois en nous-même. Pour autant, qu’en est-il lorsque l’interactivité s’en mêle ? Comment créer l’illusion d’incarner quelqu’un d’autre ? Peut-on garder une réelle cohérence lorsque le joueur, par le supplément d’âme qu’il injecte, devient en quelque sorte co-scénariste d’une œuvre ?

Voici la principale thématique abordée dans ce septième épisode de Je Game Mais Pas Que, le spin-off de JGMNP consacré aux croisements entre le jeu vidéo et le reste du grand bain culturel. Un sujet abordé selon trois angles distincts (jeu vidéo X littérature, jeu vidéo X bande dessinée, jeu vidéo X cinéma) et proposé par notre ami Xavier, animateur du podcast Comme en passant qui, comme nous, adopte une démarche pluriculturelle, accessible et détendue. Bonne écoute et à bientôt !

Principales oeuvres citées :
– Xavier : le jeu SOMA (Frictional Games) et le roman À la recherche du temps perdu (Marcel Proust).
– Fred : le jeu Heavy Rain (Quantic Dream) et le manga Fraction (Shintaro Kago).
– Antoine : le jeu Rymdresa (Morgondag) et le film Sonatine (Takeshi Kitano).

Retrouvez-nous sur Twitter :

– Fred : @fureddo_jigoku
– Antoine : @antoineherren
– Xavier : @Commeenpassant


Générique de l’émission : Lukhash – Beginning of Anxiety.
Jingles intermédiaires : Mikko Tarmia – Main theme (SOMA) / Jun Miyake – Lilies in the Valley (Pina).
Illustration : Heavy Rain / Fraction © Tous droits réservés par leurs auteurs respectifs.

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Je Game Mais Pas Que #4 – Spéciale Séries TV

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Quatrième numéro de Je Game Mais Pas Que, le spin-off détendu consacré aux croisements culturels. Un épisode enregistré peu de temps avant la fin de l’été et dans lequel Fred accueille trois de ses acolytes : Antoine, Julien et Olivier. Autant de cerveaux en ébullition (canicule oblige) qui s’attardent exclusivement sur l’un des médias les plus populaires de ces dernières années : les séries télévisées. Il s’agit, pour chaque intervenant, de croiser un ou plusieurs jeux vidéos avec une ou plusieurs séries, en proposant toujours un petit débat transversal. Au menu : la robotique, l’au-delà, les années 1980 et le huis clos.

Bonne écoute et à bientôt pour l’épisode 5 !


Principales œuvres citées :

– Olivier : le jeu Detroit : Become Human et la série Real Humans.
– Antoine : le jeu Valkyrie Profile et la série Six Feet Under.
– Julien : le jeu Metal Gear Solid V et la série The Americans.
– Fred : sur la thématique du huis clos, divers jeux dont la série des Yakuza (2005-…, SEGA) et la série Orange is the new black (2013-…).
– Rubrique « C’est pas du jeu ! » : Kaamelott / Show me a hero / Chef’s Table / The Get Down.

Générique de début : Lukhash – Beginning of Anxiety.
Jingles intermédiaires : trailer de Real Humans / trailer de The Get Down.
Générique de fin : Grouplove – Bojack Horseman ending credits.
Images d’ouverture : Valkyrie Profile (image render : Guigui_mou) et Six Feet Under.
Droits réservés à leurs auteurs respectifs.

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Je Game Moi Non Plus #21 – Retrogaming : Rétrospective Reconstitution ou Rétrograde ? 

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Expositions à travers toute la France, tentatives de comeback réussies ou ratées via Kickstarter, vente aux enchères où les jeux vidéo sont adjugés à des prix d’ordinaire réservés aux objets d’art, nouveaux titres développés sur 16 bits : le rétrogaming ne s’était jamais aussi bien porté. Il était peut-être temps de se frotter au sujet en prenant soin d’éviter l’impasse des souvenirs émus et du « c’était mieux avant. »

Suivant la voie tracée par Simon Reynolds dans Rétromania : Comment la pop culture recycle son passé pour s’inventer un futur (http://lemotetlereste.com/mr/attitudes/retromania/), on commencera par tenter de définir ce qu’est un jeu rétro. Après un bref historique de la pratique, on décortiquera les phénomènes de nostalgie, de muséification et de collection au cœur du rétrogaming.

La dernière partie braquera les projecteurs sur l’influence du rétrogaming sur la scène actuelle, notamment la manière dont les développeurs et les joueurs se sont réappropriés le passé vidéoludique, avant de débattre de la possibilité d’un dialogue entre les différents jeux vidéo, d’hier comme d’aujourd’hui, au-delà du clin d’œil sympathique (http://www.youtube.com/watch?v=RJcPc6OQ384).

On le redit au cas où : vous avez tout le loisir de prolonger l’émission et les débats dans vos commentaires.

Et on peut d’ores et déjà vous dire que le prochain numéro sera moins long !

Je Game Moi Non Plus #18 – Shepard Quoi Choisir : Le Joueur Et Le Choix

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On change cette fois radicalement de thème, et on parle narration et gamedesign.

Un des trucs qui nous botte, chez JGMNP, c’est d’être emporté dans l’histoire d’un jeu vidéo, de croire aux actions de notre héros, et d’y mettre un peu de nous. Pour renforcer cette implication, beaucoup de jeux proposent des choix dans leurs scénarios. Ces choix sont amenés de différentes manières, et chaque jeu possède sa propre structure de choix. C’est le rapport entre la forme de cette structure de choix et l’implication du joueur que nous allons étudier dans cette émission.

First things first, on commencera par se demander s’il est essentiel qu’une structure de choix soit présente pour le joueur s’implique. On entrera ensuite dans le vif du sujet : dans la plupart des jeux, les choix sont organisés selon une structure en graph. On vous expliquera ce que c’est, comment les designers l’utilisent et quelles limites elle peut avoir. Enfin, on verra comment d’autres structures de choix ont été mises en place, pour aller vers un système de décision plus proche de la réalité.

Nous n’oublierons pas nos collègues et hébergeurs, pour une dernière émission, de Nowatch, la traditionnelle rubrique A quoi vous jouez et le générique de fin. Gros bisous et bonne écoute !